Ce petit roman (150 pages) se lit d’une traite.
L’écriture est facile, la lecture plaisante.
Le titre se comprend à rebours. Alors qu’il laisse entendre mysticisme et vie fœtale, il est question en fait de la tranche de vie si particulière qui prend sa place entre la fin de l’adolescence et la vie adulte.
Le personnage principal, Laure 65 ans et écrivain,
se souvient du triangle amoureux de sa fin d’adolescence. Deux amis rencontrent Laure au cours d’une soirée d’été
alors qu’elle est venue célébrer les fiançailles de sa meilleure amie Anna,
laquelle est aussi la sœur d’Aurélien.
Le lecteur s’immisce alors dans un dialogue entre Laure à l’âge de la maturité et ses souvenirs de jeune femme. Le présent fait écho au passé à travers l’alternance des chapitres. Entre questionnement et nostalgie, le personnage de Laure est attachant. Et, si au début du roman, elle donne une explication à l’absence d’enfant dans sa vie, à la fin, c’est une toute autre explication qui est proposée. Le roman oscille sans cesse entre drame et résilience, entre solitude et amour.
L’intrigue qui aurait pu virer au vaudeville dessine peu à peu des personnages attachants qui portent un regard sans concession sur les espoirs et les exigences de jeunes gens à l’aube de la vie adulte.
Le titre se comprend à rebours. Alors qu’il laisse entendre mysticisme et vie fœtale, il est question en fait de la tranche de vie si particulière qui prend sa place entre la fin de l’adolescence et la vie adulte.
Le personnage principal, Laure 65 ans et écrivain,
se souvient du triangle amoureux de sa fin d’adolescence. Deux amis rencontrent Laure au cours d’une soirée d’été
alors qu’elle est venue célébrer les fiançailles de sa meilleure amie Anna,
laquelle est aussi la sœur d’Aurélien.Le lecteur s’immisce alors dans un dialogue entre Laure à l’âge de la maturité et ses souvenirs de jeune femme. Le présent fait écho au passé à travers l’alternance des chapitres. Entre questionnement et nostalgie, le personnage de Laure est attachant. Et, si au début du roman, elle donne une explication à l’absence d’enfant dans sa vie, à la fin, c’est une toute autre explication qui est proposée. Le roman oscille sans cesse entre drame et résilience, entre solitude et amour.
L’intrigue qui aurait pu virer au vaudeville dessine peu à peu des personnages attachants qui portent un regard sans concession sur les espoirs et les exigences de jeunes gens à l’aube de la vie adulte.
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