Ceux qui ont découvert Eric-Emmanuel Schmitt
avec un de ses romans comme "Lorsque j’étais une œuvre d’art" ou "Monsieur
Ibrahim et les fleurs du Coran", sans oublier "Oscar ou la dame en rose", seront surpris par ce nouveau roman. Peut-être même un peu désappointés par une
forme de légèreté initiale qui bascule soudainement dans le drame, sans en
avoir construit l’épaisseur.
Alors, ce livre est à relire. Passé la surprise, ce roman est cohérent avec la quête d’Eric-Emmanuel Schmitt : nous parler de la profondeur des sentiments et des tourments de la vie avec une forme de poésie qui rend la condition humaine supportable.
Quant à ceux qui n’auraient jamais lu aucun des textes d’Eric-Emmanuel Schmitt et qui ne sont pas non plus aller voir le film "Odette Toutlemonde" qui est une adaptation cinématographique d’une de ses nouvelles, ce roman est une excellente occasion de découvrir la perception du monde de cet auteur. Avec "Poison d’amour", il nous plonge dans le monde de trois adolescentes qui s’interrogent sur l’amour. Les parents d’ado y trouveront enfin la réponse à une de leurs questions : mais à quoi pensent-ils ? Et si la bascule dans le drame crée une rupture narrative trop brutale pour être crédible, elle a le mérite de rendre de façon assez juste un hommage à l’hyper sensibilité des 15-18 ans.
Un roman à lire en famille.
Alors, ce livre est à relire. Passé la surprise, ce roman est cohérent avec la quête d’Eric-Emmanuel Schmitt : nous parler de la profondeur des sentiments et des tourments de la vie avec une forme de poésie qui rend la condition humaine supportable.
Quant à ceux qui n’auraient jamais lu aucun des textes d’Eric-Emmanuel Schmitt et qui ne sont pas non plus aller voir le film "Odette Toutlemonde" qui est une adaptation cinématographique d’une de ses nouvelles, ce roman est une excellente occasion de découvrir la perception du monde de cet auteur. Avec "Poison d’amour", il nous plonge dans le monde de trois adolescentes qui s’interrogent sur l’amour. Les parents d’ado y trouveront enfin la réponse à une de leurs questions : mais à quoi pensent-ils ? Et si la bascule dans le drame crée une rupture narrative trop brutale pour être crédible, elle a le mérite de rendre de façon assez juste un hommage à l’hyper sensibilité des 15-18 ans.
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