L’Enfant d’Ingolstadt - Pascal Quignard

Cette lecture peut sembler déconcertante, mais la beauté de l’écriture et la puissance de la réflexion méritent que le lecteur s’arme d’un peu de temps et d’une tablette de chocolat pour oser traverser ces pages. 

Cet ouvrage est le dernier tome du cycle Dernier Royaume. Les afficionados de Quignard y retrouveront toute sa sensibilité et son rapport au arts. Pour les autres, cette lecture est à vivre comme une dégustation de courts passages philosophiques sur les rapports entre le réel et l’art. Chaque paragraphe est à considérer comme une perle de la pensée de cet auteur qui commit Tous les matins du monde. 

Ce livre est inclassable, bien que revendiqué comme appartenant à un cycle. Pascal Quignard écrit dans une des premières pages que ce texte a pour vocation d’essayer de démêler le vrai du faux dans l’Art.

Il faut oser emprunter ce livre, le poser sur la table de chevet et s’endormir en méditant une page ou deux.

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Dans ce jardin qu'on aimait
Le Salon de Wurtemberg
Les Escaliers de Chambord
Les Larmes  
Les Ombres errantes (Prix Goncourt)
Les Solidarités mystérieuses
Tous les matins du monde
Villa Amalia