Un roman écrit à la première personne qui
entraîne le lecteur dans l’univers d’une classe préparatoire littéraire dans un
grand lycée parisien.
Le récit est construit en flash-back. Dès le
début du roman, le narrateur reçoit une lettre d’un homme. Son expéditeur, s’il
est inconnu pour le lecteur pour encore quelques chapitres, ne l’est pas pour
le narrateur. Débute alors le récit de son année d’Hypokhâgnes qui s’est écoulée environ trente ans plus tôt.
Jean-Philippe Blondel nous plonge dans le monde
d’une classe préparatoire littéraire, dans une salle de classe où deux mondes
s’affrontent : celui d’adolescents brillants méprisés par le monde
professoral vieillissant.

Ce roman peut être lu du point de vue d’un « ancien de classe prépa ». Alors il prend une saveur et une résonance toute particulière. Il faut avoir franchi ces murs-là pour en deviner toute leur cruauté à travers les mots pudiques de JP Blondel. Mais une autre entrée de lecture est tout aussi intéressante : celle de la relation parent-enfant. Le lecteur découvre alors 4 modalités de relations différentes.
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