La nuit, j’écrirai des soleils de Boris Cyrulnik est un essai autobiographique sur les blessures de l'enfance.
Grace aux récits intimes de son enfance, il est possible de
retrouver la lumière et donc écrire des soleils.
Boris Cyrulnik tente cette démonstration en conviant à son
argumentation des auteurs traumatisés comme lui par une enfance plus ou moins
« fracassée ».
C’est une fois de plus le concept de résilience, qu’il a
contribué à développer en France à partir des connaissances des psychiatres américains,
qui est expliqué au travers des œuvres littéraires de Jean-Jacques Rousseau, Sartre,
Sade et bien d'autres.
Les amoureux de la littérature seront certainement séduits par
ces analyses qui nous donnent un nouvel éclairage sur leurs œuvres.
Le premier d'entre eux, longuement analysé, est Jean Genet.
J’ai trouvé cette lecture un peu patchwork. Il est parfois
nécessaire d'avoir des connaissances en neurosciences et psychologie.
C’est grâce à l’intérêt porté sur les auteurs abordés que je
suis parvenue à la fin de cet ouvrage.
________________
Du même auteur, nous vous proposons également:
Autobiographie d'un épouvantail
De chair et d'âme
L'Impossible paix en Méditerranée
Les Vilains petits canards
Le Murmure des fantômes
Sauve-toi, la vie t'appelle
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire