Alors que le film de Luc Besson sort
dans les salles de cinéma,
si vous vous replongiez dans
la série des BD "Valerian"?...
elles sont à la bib! ;-)
L’histoire : En lisant le journal, Diane
Marchesseault apprend le décès de sa mère, Yseult. Elle s’est jetée d’un pont
dans le fleuve Saint-Laurent. Diane ne l’avait pas revue depuis 7 ans. A
présent, il ne lui reste qu’un petit sac en plastique contenant les effets
personnels de la morte, recueillis avec le corps : quelques bagues... Malgré
leur séparation, Diane éprouve énormément de peine et veut comprendre le geste
de sa mère : pour quelles raisons est-elle morte ? pour qui ?
d’où proviennent ces bagues ?... Les souvenirs reviennent... Quelques
personnages l’aideront à reconstruire le passé d’Yseult : Evelyne,
collègue et amie d’Yseult, Gilbert, l’amoureux patient de Diane.…
L'idée est originale: présenter les scènes de crime dans les collections du Louvre et tenter de les analyser en les replaçant dans leur contexte mythologique, biblique ou historique.
La criminelle de Paris est mise sur l’affaire, Lucie
et Frank participent à l’enquête. Débute ainsi l’intrigue où les deux policiers
mènent une enquête complexe à partir d’un crime qu’ils ont commis. De son côté, Frank, pour protéger sa compagne, a brouillé les cartes en maquillant la scène du
crime.
!!! COUP DE COEUR !!!
Le livre se présente comme une suite de tableaux où nous voyons et entendons Simeon tandis qu'un récitant, comme le choeur antique, assure la narration.
Hubert Haddad emmène le lecteur en Inde, où Hochéa Meintzel, violoniste israëlien reconnu mondialement, est invité à un festival de musique. Hanté par un attentat dans sa ville d'origine, Jérusalem, il va tenter de trouver le chemin de la guérison, loin des troubles qui agitent son pays.
"Sen-nen – prénom japonais dont la signification ne se révélera que
tardivement – est marié à Mathilde, une Française. Ancien professeur de
littérature française dans une université à Tokyo, Sen-nen vit désormais
à Paris avec sa femme, atteinte d’une grave maladie qui l'oblige à
garder la chambre. Tous deux mélomanes, ils se sont connus lors d’un
stage de musique en France. Bien avant cela, à Paris, Sen-nen avait fait
la rencontre capitale d’une cantatrice, Clémence, qui chantait Suzanne
dans Les Noces de Figaro. Ébloui, il avait assisté à toutes les
représentations et s’était lié d’amitié avec elle. Des années plus tard,
alors qu’il l’a perdue de vue, il reçoit un message de Clémence : Les Noces
sont redonnées à l’Opéra, dans la mise en scène originelle qu’elle est
chargée de superviser. Mathilde laisse son mari aller à la rencontre du
passé, pour une longue conversation dans laquelle la musique et l’amour
tiendront une place centrale."
Béatrice n’aurait jamais dû s’aventurer sur les chemins de la jungle de
Calais : veuve d’un mari policier et sympathisant FN, elle vit avec son
fils et sa mère dans la campagne environnante. Une existence tranquille
loin de cette jungle, où s’entassent 9 000 personnes. Un soir en sortant
du travail, Béatrice prend en stop un adolescent migrant qui lui
demande de l’y déposer. Là, elle voit des enfants jouer dans la boue
dans des conditions indignes. Sa vie bascule. Elle devient bénévole
occasionnelle. Deux ans plus tard, un groupe d’Iraniens se coud la
bouche pour dénoncer leurs conditions de vie. Parmi eux, Mokhtar,
enseignant dans son pays, arrivé en Europe après avoir traversé la
Méditerranée sur une embarcation de fortune. Leurs regards se croisent.
C’est le coup de foudre. Mais Mokhtar n’a qu’un rêve en tête : gagner
l’Angleterre… C’est le début d’une aventure humaine, amoureuse et
judiciaire à laquelle rien ne la préparait.
L’histoire :
Norma est une jeune femme qui a une chevelure particulière car elle
pousse de plusieurs mètres par jour ! Elle est aussi capable de détecter à
travers la chevelure des autres leur alimentation, leurs manies, leurs maladies
et leur probable date de décès ! Anita sa mère et confidente est retrouvée
morte sur les rails du métro d’Helsinki. Norma refuse de croire au suicide et
décide d’enquêter.

Just, le narrateur, accomplit durant une année la fonction de consul à Belem. Rien d'exaltant pour lui, sinon l'accès à une riche bibliothèque, remplie de dictionnaires. Bonheur qu'il partage avec Mariane comme lui passionnée par le langage. De retour en France, son père est mort et sa mère "n'a plus toute sa tête".
Fred Vargas a de
nouveau recours à des éléments historiques ou du moins appartenant à une forme
de sociologie du passé. Comme indiqué dans le titre, le lecteur ressort de ce
roman policier en ayant tout appris sur les recluses. Lire ce roman policier,
c’est se confronter une fois de plus à l’esprit tortueux de son auteur, mais
aussi à son immense culture.