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Ce livre est une biographie
romancée qui nous fait comprendre les états d’âme de ce bourreau, très lâche,
très autoritaire et capable d’emprise sur son entourage comme s’il n’avait
commis aucune mauvaise action. Il se remariera et, plus tard, rencontrera son
fils devenu adulte et avocat… L’auteur Olivier Guez s’est très bien documenté
pour nous décrire le contexte géopolitique des différents pays dans lesquels J.
Mengele a vécu. On est aussi informé sur l’avenir d’autres nazis protégés par
des Etats… On est emporté par l’écriture de ce romancier passionné qui essaie
de comprendre comment ce jeune médecin s’est laissé séduire par l’idéologie
nazie. Et surtout, l’auteur ne veut pas que l’on oublie ce pan de l’histoire
afin que cela ne reproduise pas. Ce livre rend aussi hommage aux victimes de
Mengele et à leurs familles d’autant plus qu’un procès n’a pas eu lieu pour
juger ce tortionnaire.
Il insiste plus sur les éléments biographiques que sur la réflexion philosophique d'Averroès, rendant ainsi son roman plus abordable et attrayant. Mais on aimerait approfondir davantage la pensée du grand musulman.
Ce roman retrace l’histoire de trois générations avec
une intrigue dont la chasse au trésor, des personnages intéressants et bien
décrits, en particulier les femmes, et quelques scènes irréalistes... Il est bien
construit et transporte le lecteur grâce à son écriture lyrique et poétique dans
la description de la nature environnante. Il comporte aussi une morale comme
dans un conte philosophique et incite à réfléchir sur les vraies richesses de
la vie. L’auteur l’a voulu intemporel et sans précision sur le lieu même s’il
avoue se baser sur le Vénézuéla, pays d’origine de sa mère.
               !!!   COUP  DE  COEUR   !!!    
Comment un enchaînement de hasards mais surtout de compromissions, de corruptions, de marchandages, de bassesses de la part des hommes de pouvoir de l'époque, a-t-il pu permettre à la mégalomanie d'Hitler de se déployer jusqu'au déclenchement de la seconde guerre mondiale? Les faits sont connus mais leurs "dessous" ne sont pas à la gloire des hommes!
L’histoire commence en Iran depuis le ventre de sa
mère dans lequel Maryam vit déjà les troubles de la révolution iranienne, puis elle
se poursuivra en France où elle rejoindra son père à l’âge de six ans. Ses
parents étaient militants communistes. L’auteur évoque les souvenirs de ses
premières années : l’abandon du pays, l’éloignement de sa famille, la
perte de ses jouets qu’elle a été contrainte de distribuer aux enfants de
Téhéran, les difficultés liées à la langue et à l’exil.
C’est
un roman suédois comme on les aime. On suit l’enquêteur pas à pas, et on
s’attache à lui. On rentre avec lui dans son appartement à l’heure du coucher
de sa fille. On partage ses affres et ses doutes. 
Il est sensible, intellectuel, cultivé et il a la peau brune (ses parents sont des immigrés espagnols). Autant de raisons de sembler différent, bizarre, donc dangereux aux habitants du village, en particulier aux quatre soûlards et au patron du "Café des sports" qui vont concentrer sur lui toute leur haine de l'Autre. Anas, c'est l'Arabe, un danger pour le village, un possible drogué, un probable djihadiste, un prédateur sexuel... dont il faut se débarrasser.
Marcello arrive à Lyon pour trois jours. Il vient du Liberia où il s'occupe d'une organisation humanitaire dédiée aux enfants. Il vient voir sa tante qui est à la tête d'une fondation et qui lui envoie de l'argent chaque mois. Mais celle-ci vient de décider d'arrêter ce versement et de le déshériter.
"Trois baisers, trois baisers et l'homme caracole, libre, flamboyant, 
crachant du feu et des étoiles. Ses sens s affolent, il voit mille 
lucioles, des pains d'épices, des incendies... Ils sont de retour, tous 
les personnages chers à Katherine Pancol et à ses lecteurs. Et ça 
crépite ! Les histoires se nouent, s’emmêlent, se tendent, éclatent, 
repartent. On craint le pire, on espère, on respire, on retient son 
souffle jusqu’à la dernière ligne. Des rencontres, des espoirs, des 
trahisons, des soupçons, des idylles qui surgissent sans prévenir. Et 
des baisers qui vont se poser là où on ne les attendait pas. Les vies 
sont chamboulées. Il faut tout recommencer. Ou tout remettre d’aplomb. 
On ne sait plus très bien. On n’est plus sûr de rien. Chacun s’embarque 
dans de nouvelles aventures. Certains révèleront leur côté obscur, 
d’autres verront leur destin scellé, tous auront le coeur battant. « 
Partons dans un baiser pour un monde inconnu. » disait Alfred de Musset.
 Ce livre est un voyage."
Le titre
indique clairement le thème ambitieux
que l’auteur, Fabrice Humbert, traite : « Comment vivre en
héros ? ». L’héroïsme est parfois envisagé sous la forme de courage
physique et la force devient alors plus importante que l’intelligence ou la
diplomatie car les gens admirent les « héros » (combattants,
résistants…). A travers les cinquante années de cette vie, l’auteur en profite
pour soulever de nombreux thèmes d’actualité qui incitent à la réflexion sur
l’éducation, l’école, l’aménagement du territoire, les banlieues, les milieux
politiques et financiers mais aussi l’amour, la vie de couple… Malgré quelques
répétitions (en particulier le thème « 38 secondes qui font basculer une
vie » et que le héros, Tristan, répète souvent), ce livre est bien écrit,
avec un certain humour ; il fait réfléchir le lecteur sur sa propre vie, sur
les relations sentimentales et celles entre parents et enfants. L’histoire est
émouvante et l’auteur sait réserver des surprises. 
Hamid, le père de Naïma, racontera à sa fille, ou tout au moins ce qu'elle découvrira grâce aux récits de Yema, à quel point la famille a souffert de l'insalubrité, du manque d'hygiène et du mauvais traitement dont les nouveaux arrivants faisaient l'objet. Malgré tout, Yema voulait croire à un nouveau départ et à une vie pleine d'espoir et de promesse.