L’histoire concerne la vie de Guilia et Anita,
deux amies qui habitent le même petit village dans le Piémont jusqu’en 1910.
Puis un secret les sépare, Guilia quitte le village sans prévenir personne et
s’embarque pour New York. En mars 1946, elle y revient avec son fils Mickael.
Que va-t-elle découvrir ?
Le roman raconte donc à la fois la vie à New-York d’exilés
italiens et la vie au village piémontais avec les guerres, la montée du
fascisme, la résistance et enfin la libération. En fin de livre, il raconte en
particulier un épisode réel douloureux. D’ailleurs,
le titre « Bella Ciao » évoque le chant de révolte italien qui
célèbre l’engagement dans le combat des partisans résistants pendant la seconde
guerre mondiale opposés aux troupes allemandes alliées de la République sociale
italienne fasciste dans le cadre de la guerre civile italienne. Ce n’est pas
l’essentiel du livre, même si l’aspect historique est passionnant.
Ce livre est un roman choral, mais le lecteur peut être
gêné au début par la construction des chapitres assez longs où on doit changer
sans cesse de lieux, d’époques et surtout de personnages. Les narrateurs se
succèdent, même les chiens apportent leurs témoignages ! Heureusement, un
bel organigramme sur la famille page 419 pourra l’éclairer. On est de toute façon
emporté par de nombreuses anecdotes, conflits, histoires d’amours, de traîtrise et aussi de pardons… Et la
force et l’intelligence des
femmes !
Une
vraie fresque sociale, familiale, historique et romantique.
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