Il
n’est pas facile de donner un avis sur un livre alors que son auteur meurt
pendant la lecture de ce dernier. On
aurait tendance à faire comme beaucoup : rendre hommage à l’œuvre complète, ce qui serait injuste pour les meilleurs ouvrages, et cela manquerait
d’honnêteté.
Dans
ce dernier livre (désormais, on sait qu’il n’y en aura plus d’autres), Paul
Auster parle d’un septuagénaire, prof de philo, écrivain et veuf depuis 10 ans.
Après
un premier chapitre digne des dessins animés de Tex Avery par sa drôlerie
(second degré), P.A. nous emmène dans les méandres de sa
mémoire légèrement défaillante. Il
nous parle de sa rencontre avec Anna, poétesse et grand amour de sa vie, mais
aussi de sa jeunesse, de son père mort trop tôt. On
fait des sauts de puce avec le présent de temps en temps.
Qu’est-ce
qui est vrai dans ce livre et qu’est-ce qui relève de la fiction :
impossible à dire.
On
ne s’y perd pas pour autant, mais ce livre a effectivement un avant goût d’au
revoir. L’important
est de passer un bon moment, c’est notre objectif lorsque l’on s’installe pour
lire en se disant : « il paraît que c’est l’un des plus grand auteur
américain , voyons cela ... »
CLIQUEZ SUR LA COUVERTURE POUR DECOUVRIR QUELQUES PAGES!
Brooklyn follies
Chronique d'hiver
Dans le scriptorium
Invisible
Le Diable par la queue
Léviathan
Seul dans le noir
Chronique d'hiver
Dans le scriptorium
Invisible
Le Diable par la queue
Léviathan
Seul dans le noir
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire