L’histoire : en fait, ce roman raconte alternativement
deux histoires qui se rejoindront.
D’abord fin 1969, à Manhattan, Werner Zilch quitte la famille américaine qui l’a adopté pour faire fortune dans l’immobilier avec son
associé Marcus, jeune avocat de bonne
famille. Il rencontre le grand amour, Rebecca, artiste et riche héritière.
Lorsqu’elle le présente à ses parents, la mère de Rebecca fait une crise de
nerfs et un malaise en le voyant!…
Puis février 1945 en Allemagne, à Dresde en ruines après
les bombardements alliés, une jeune femme blessée, Luisa, met au monde un
garçon qu’elle nomme Werner. Elle demande à ce qu’il soit confié à Marthe
Engerer, sa belle-sœur en disant « Ne changez pas son nom. Il est le
dernier des nôtres ».
Ce livre à l’eau de rose se lit vite malgré ses 488 pages.
Il se veut historique, romantique avec un peu de suspense. Il se lit facilement
même si le lecteur peut être gêné par les nombreux clichés, les personnages
caricaturaux et peu consistants, le manque d’analyse psychologique et les
situations prévisibles ou alors très peu crédibles.
« Grand
prix du roman de l’Académie française » très populaire et accessible à
tous.
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