
L’histoire : 1975, le roman commence par la description
de la jeunesse de deux enfants: Olivia,
fille unique d’un riche entrepreneur italien, Les Morganti et Valério, fils du
jardinier et de la bonne. Ils vont dans la même école, sont élevés ensemble à
Bologne et partagent les mêmes vacances luxueuses. Ils sont séparés lorsque la
mère de Valério quitte son mari et s’installe avec son fils à Rome. Valério
découvre alors un appartement sans confort dans un quartier populaire, un
langage qu’il ne comprend pas, « le romanesco » et les magouilles…
Quelle sera la vie de ces enfants ? Vont-ils se
retrouver ? S’aimer ? Vivre ensemble ?
Le livre répond à ces questions tout en décrivant deux
mondes qui se côtoient entre 1975 et 2013 : d’abord, la bourgeoisie ou les
« différentes bourgeoisies » et la corruption des chefs
d’entreprise… puis les milieux défavorisés
et sa petite délinquance. C’est aussi l’Italie sous l’ère Berlusconi : le
titre du livre « Le pays que j’aime » est extrait d’un discours de
Berlusconi.

Bon roman.
Cliquez sur la couverture pour lire quelques pages!
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