Le numéro un est un roman qui tient en haleine jusqu'à la dernière page. Dès le début, le lecteur comprend que Vladimir a commis une erreur et qu'elle aura des conséquences à long terme. Il a enclenché, sans le vouloir, un engrenage qui n'impliquera pas que sa propre personne.
La force de ce roman, c'est de ne pas se cantonner au seul registre du roman d'espionnage, mais de mêler habilement les sentiments et un portrait de la Russie (sans pour autant être une étude sociologique).
L'intrigue est vraiment haletante et on se prend parfois à croiser les doigts en espérant que les protagonistes parviendront à s'en sortir...
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